Il y a si longtemps….
J’avais décidé de ne plus écrire sur ce blogue.
Pourquoi ?
Hé bien, je croyais que c’était inutile vu le peu de gens qui venaient sur mon site.
Est-ce que j’écrivais pour moi ou pour les autres ?
À ce moment-là, je crois que j’écrivais pour être lu.
Nous écrivons tous pour être lus, non ?
Si je reviens aujourd’hui, c’est que j’ai lu tantôt le blogue d’une blogueuse qui est aussi sur WordPress. J’ai eu le lien via une amie Facebook qui est aussi une femme extraordinaire, une professeure de piano. Elle a mis la référence à Laurence Ricard parce que cette dernière a écrit un texte qui parle justement d’une professeure de piano.
Ma professeure de piano
Ce texte m’a profondément touché pour l’émotion qui en résulte.
J’ai poursuivis ma lecture du blogue de Laurence, de textes précédents, et je me suis dit que je n’étais pas le seul à me questionner sur les raisons que nous avons tous d’écrire.
Elle m’a redonné ce goût de l’écriture dans un blogue.
Je n’ai jamais cessé d’écrire. J’écris tous les jours sur plein de sujets.
J’écris pour moi d’abord et avant tout. Je dirais même que je n’écris que pour moi.
Après avoir lu Laurence, je me suis abonné à son blogue.
J’ai ensuite entrepris l’écriture de ce texte que vous êtes en train de lire.
J’espère que vous ne serez pas la seule personne à me lire.
Je vais toutefois écrire encore ici, car il suffirait que vous ne soyez que la seule personne, que ce serait formidable. Mon lectorat aurait augmenté substantiellement.
Toutefois, je vais écrire pour moi en espérant que d’autres partageront leur opinion avec moi sans pour autant être d’accord ou ne pas l’être, avec ce que je dirai.
L’écriture demeure pour moi une thérapie formidable et gratuite.
Merci d’être là.