L’hiver est dur pour nous, alors imaginez pour ces pauvres bêtes sauvages qui maintenant vivent en banlieue et parfois même en ville.

Cette semaine, j’ai eu plusieurs écureuils dans ma cour qui tentaient tant bien que mal de bouffer les graines de tournesol que je mets dans une mangeoire, pour les oiseaux qui passent l’hiver dans ma cour. Puis, un raton laveur qui aurait bien aimé s’emparer de ma poubelle pour y chercher quelque chose à manger n’eut été qu’elle est trop grosse et trop bien fermée pour qu’il puisse y pénétrer.

Avant hier, j’ai profité du peu de soleil qu’on avait pour faire une tournée aux Iles de Boucherville.
Il y avait plusieurs chevreuils qui cherchaient désespérément à manger.
En voici un qui réussissait quand même à se nourrir un peu.

Dommage que les espaces de vie de ces bêtes reculent toujours au profit de la civilisation.
Où iront-ils bientôt ?